Dimanche 29 juin 2008


Ce film va  exploser mes quotas! ^^ Vu pour la quatrième fois, en chouette compagnie, il me fait toujours l'effet d'une grande bouffée d'air frais. Cette famille farfelue pleine de caricatures décaricaturées au fur et à mesure qui s'embarque dans une virée en camionnette jaune *o* pour aller au concours de beauté de Little miss Sunshine. Comment dire combien j'aime ce film? Que je tape dans mes mains comme Olive et souris comme une folle tout du long, que je suis aussi gênée que Frank quand il est à la station essence avec ses revues, que mon coeur se pince quand Olive fait passer le test des couleurs à son frère Dwayne, que je ris quand ils poussent la camionnette? (et il y a tellement d'autres choses fantastiques dans cette comédie!)
Si vous ne l'avez pas vu, courez le voir! Vous vous mettrez à danser à la fin, à taper dans vos mains, si si si! ^___^

Ma note: 11/10 (j'ai dit qu'il explosait mes quotas de visionnage, quoi de plus normal qu'il explose la note aussi??)
 

Dimanche 29 juin 2008


Une clerc de notaire trentenaire a recours au speed-dating pour trouver "l'homme de sa vie". Belle fabrique des sentiments, en effet... Après l'effet "oh, c'est amusant, ils essaient de se vendre en sept minutes, chacun à une technique différente, ah ah ah", il y a le très long "ouais, ben, c'est bon là, c'est quoi ce film?"
Pour faire simple, je crois que je n'ai pas aimé... A la base, je ne pensais pas du tout voir ce film-là: à cette époque 2 films avec Elsa Zylberstein passaient sur écran, et j'étais persuadée que celui-ci parlait d'une relation de soeurs, or c'était l'autre.
Donc notre héroïne commence une histoire d'amour avec le type idéal, est toute heureuse, et un autre de ses speed-datingeurs la suit, avec une attitude de... psychopathe? Et je m'arrête là pour ne pas raconter l'histoire...
Ce film a un côté malsain. J'ai eu (et je dois toujours avoir d'ailleurs) peur tout du long du personnage interprété par Jacques Bonnafé, même quand (surtout?) il faisait son gentil et souriait.

Ma note: 3/10
 

Dimanche 29 juin 2008

Ce film commence par une grande réunion de famille, comme on en connaît tous un jour ou l'autre: chacun voudrait être ailleurs, a mieux à faire, les enfants courent dans tous les sens, jouant à cache-cache, tandis que les adultes s'ils ne discutent pas de leurs professions, s'attardent à parler succession, mort, héritage. Le tout dans une grande et belle maison *o*.
Oui, ce film parle d'héritage. Et pas seulement l'héritage financier, ce serait bien trop facile, mais d'héritage plus sentimental, affectif. Comment fait-on pour garder ses souvenirs intacts face au temps quand la maison de son enfance est sur le point d'être vendue? Quelle place leur accorde-t-on? Il y a les enfants qui partent aux quatre coins du monde (Amérique, Japon...) et celui qui réside en France, et même s'il est le seul à vouloir garder la maison et aussi le seul à pouvoir s'occuper des formalités de vente.
C'est un joli film dont on ressort enthousiasmé et triste, un peu aussi, parce que le problème des successions c'est cette division (tant d'opinions que des biens...) et il n'y a pas de bonne ou mauvaise réponse aussi curieux que celui puisse paraître. Chacun s'attache à ce qu'il peut.
A noter la pléiade d'acteurs talentueux: Charles Berling, Juliette Binoche... et mon gros énorme coup de coeur: Isabelle Sadoyan dans le rôle d'Eloïse.

Ma note: 8/10

Samedi 22 mars 2008

<3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3
(ça c'est pour me rappeler que j'ai aimé ce film !!)
C'est étrange comme ce film est prenant, juste, bouleversant, vrai. Humain.
Marianne Faithfull dans le rôle de Miggy dégage quelque chose de formidable. Tout d'abord petite bonne femme sans rien de particulier, jeune grand-mère qui file voir son petit-fils malade à l'hôpital, relaie son fils (le frère de Wendy dans L'auberge espagnole et Les poupées russes) et sa belle-fille à son chevet, lui apporte des sourires et le peu de cadeaux qu'elle peut acheter. Cette femme sans qualification, sans expérience professionnelle mais avec un cœur d'une grandeur indescriptible part à la recherche d'un travail qui lui apporterait l'argent disponible pour envoyer son amour de petit-fils (il est tellement chou ce petit acteur) en Australie, où il pourrait avoir les soins dont il a besoin. Elle devient petite main du sexe et branle les hommes dans un sex-shop derrière un mur. Elle devient Irina Palm. Et… cette femme est juste exceptionnelle. Elle fait preuve d'un courage énorme, elle dépasse ses dégoûts, elle se fait respecter, elle… elle a honte aussi et cache ce métier à ses proches. A son fils notamment.
Tout sonne vrai dans ce film, tout… La relation tendre et complexe (mais si simple tout à la fois) avec Micky, la réaction explosive de son fils quand il réalise ce que sa mère fait, celle plus compréhensive et admirative de sa belle-fille qui comprend le « sacrifice » qu'elle a fait… Tout, jusqu'à la scène finale où elle les laisse partir sans elle, parce qu'elle ne veut pas s'imposer et qu'ils ont besoin… Jusqu'au sourire de ce petit bout dans son ambulance.

Ma note : 10/10

Samedi 22 mars 2008

Bienvenue chez les ch'tis… Ouais. C'est un film mignon, sympa, assez gentil. On joue avec les clichés, parfois en les accentuant (j'ai beaucoup aimé quand le personnage de Kad Merad demande à ses amis nordistes de se prêter au jeu, d'exacerber les traits des ch'tis, pour faire fuir sa femme.) mais je trouve que les personnages restent quelque peu de façade, que certaines situations sont grosses et faciles.
C'est un film mignon, sans plus.

Ma note: 5/10

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