J'aurais dû me méfier en entrant dans la salle et en ne voyant qu'une seule personne... Film tourné on ne sait trop comment, et donnant la nausée (au bout d'un moment, j'ai tout simplement fermé les yeux pour ne pas vomir), Le plaisir d'être volé est soi-disant un film indépendant. Peut-être que si la caméra n'était pas tremblotante et que si on ne passait pas en permanence d'un fond blanc éblouissant à un fond noir, peut-être que si on ne suivait pas une femme dont on ne sait rien et dont on ne saura jamais plus qu'elle s'amuse à voler, peut-être que le film vaudrait la peine d'être vu. Peut-être. Me reste encore à comprendre comment ce film a pu être sélectionné et récompensé dans plusieurs grands festivals.

Ma note: 1/10