Mardi 1er juillet 2008


 
Dans ce deuxième volet, Torak doit sauver la forêt d'un curieux virus qui s'abat sur ses habitants. Avec la sensation d'être épié tout du long de son périple en solitaire, Torak croise les différents peuples qui vivent dans la forêt. Grâce à leurs indications, il arrive près de chez les Phoques où le mage, lui a-t-on dit, détient l'antidote. Mal vu dans un premier temps, bravant la mer et les comportements hostiles à son égard, Torak montre qu'il est là pour sauver les autres. Tandis qu'il mène son aventure de son côté, Renn et Loup, d'abord séparés puis ensemble, sont à sa recherche pour l'aider. La relation entre Renn et Loup est loin d'être aussi complice qu'entre Loup et Torak mais à tous les deux, ils rejoindront leur ami et seront là pour l'avertir du (des) danger(s)…
Ce deuxième volume, emprunt des mots feuillus et toujours aussi sensoriels de Michelle Paver glisse seul sur l'eau. Parce que c'est ce qu'il est en quelque sorte : une ode à la mer. Alors qu'on en apprend davantage sur Torak et ses origines, on est face à cette eau agitée, calme, qui draine la vie des Phoques, qui au gré de ses envies leur fait vivre joies et peines. La mer contre la forêt, deux façons de voir la vie, deux comportements différents avec l'idée que *son* attitude est la bonne. Les chroniques des Temps Obscurs est une invitation à la tolérance.

Ma note: 9/10
Par Raison-et-sentiments le Jeudi 11 juin 2009
J'ai adoré ces volumes, bien que je n'ai pas lu les deux derniers paru. C'est frais, bien écrit et on se prend au jeu de suivre le héros.
 

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